MADOU DARAAMÉ

L’ŒIL FLINGUÉ

Photographe indépendant, vendeur d'art, du #com de la #frappe et du #seum

L’ŒIL FLINGUÉ

aisir un moment de bascule entre lumière et obscurité. L’espace vide devient réceptacle d’un temps en retrait.
Montrer la manière dont les espaces vides deviennent des points de rencontre. La rue est un lieu de liens mouvants.
Documenter la transition entre l’usage et l’oubli. Ce qui a rassemblé les corps disparaît, mais les restes parlent.
Questionner les effets visibles de l’abondance et du désordre. L’excès devient un marqueur de présence et d’absence à la fois.
Saisir l’invention de nouveaux espaces de convivialité. L’urbain s’adapte aux besoins humains.
Montrer comment la lumière et la posture des corps transforment un lieu anodin en une scène. L’espace urbain devient un cadre mouvant.
Interroger la nature éphémère des marques laissées sur les surfaces. Ce qui est gravé un instant finit toujours par s’effacer.
Travailler la notion de filtre entre le regard et la réalité. Le voile rend la scène plus chargée de mystère.
Révéler une composition involontaire dans l’espace public. L’agencement informe devient structure implicite.
aisir un moment de bascule entre lumière et obscurité. L’espace vide devient réceptacle d’un temps en retrait.
Mettre en lumière une posture entre déplacement et immobilité. Le véhicule devient extension du corps.
Montrer la potentialité d’un espace sans action visible. L’absence devient anticipation.
Montrer l’adaptation spontanée de l’espace urbain. Le trottoir devient surface de relation.
Montrer l’ancrage temporaire dans l’espace urbain. Les objets signalent une présence humaine sans la montrer. Ce que l’on transporte nous habite.
Capturer un moment de suspension entre deux états. L’image suspend le mouvement pour en révéler la grâce.
Questionner l’effet miroir des objets personnels. Le reflet devient un prolongement du monde et du regard.
Explorer la distance entre le sujet et l’observateur. Le flou devient langage.
Mettre en lumière les dynamiques invisibles dans les rituels ordinaires. Le jeu devient un langage en soi.
Souligner la fusion entre réel et virtuel dans les usages quotidiens. L’écran devient lieu d’expérience.
Montrer l’adaptation des gestes essentiels à l’espace urbain. La nourriture crée du lien.
Saisir la persistance d’un lieu inactif. L’éclairage devient une trace d’existence silencieuse.
Mettre en valeur la structure implicite des gestes répétés. Le banal devient porteur d’harmonie.
Rendre visible la solitude dans l’espace public. L’attente devient une position intérieure.
Montrer comment des lieux ordinaires deviennent des points de regroupement temporaire. Le quotidien se déploie dans les marges.
Mettre en évidence l’étrangeté des objets déplacés. Un siège hors contexte devient une invitation silencieuse ou une mémoire figée.
Montrer la relation entre surveillance, échange et validation. L’éclairage crée un contraste entre visibilité et mystère.